Altéa Miravé

Une voix, plusieurs langues


Certaines autrices s’adressent à l’intellect. D’autres traversent la peau. Altéa Miravé fait partie de ces voix qui s’impriment en silence.

Née dans le Sud, façonnée par la Guyane, profondément liée à la Corse, elle porte en elle une géographie intime et plurielle. Ses mots cheminent entre forêts denses et sentiers de maquis, entre douleurs anciennes et élans d’avenir.
Autrice insaisissable, elle n’écrit pas dans un genre, elle écrit dans une tension.
Entre Histoire et imaginaire. Entre silence et cri.
Entre l’émotion vraie et la langue juste.

Une œuvre habitée
Depuis plusieurs années, Altéa tisse une œuvre littéraire profondément incarnée : Poèmes, fragments, récits.
Une saga romanesque transgénérationnelle en 7 tomes, Les Silences de Bartoli, portée par des voix féminines puissantes et enracinées.
Des textes qui traversent les frontières des styles, mais jamais celle de l’authenticité. Elle écrit comme elle vit : avec intensité, mais sans posture. Elle observe tout, ressent fort, pense loin — mais ne s’y noie pas.
Sa littérature est ce pont discret mais vibrant entre le monde et l’intime.


Ici, vous entrez dans un univers où les émotions prennent la parole.
Où les silences sont des personnages.
Où l’on marche entre le réel et le symbolique, sans jamais se perdre.
Bienvenue dans les mondes d’Altéa Miravé.
Vous n’en ressortirez pas tout à fait pareil.

Texte rédigé par Elias Vernay - En échos aux mondes d'Altéa.